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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 23:01

Un petit truc pour se rendre compte qu'on mange vraiment beaucoup de différentes choses en avalant de la nourriture, c'est de noter ce qu'on a mangé,

par exemple un steack haché, mais, il a été salé (combien de sel ?), poivré (quelle quantité ?), cuit dans un peu de matière grasse (combien ?)

Donc on n'a pas mangé que du steack, mais du boeuf, du sel, du poivre et de la matière grasse...

Et tout comme ça...

Le café ou le thé, mais combien de sucre ? combien de lait ? combien de tout petit carreaux de chocolats pour déguster autrement son café ???

Le pire c'est tout ce qui est caché (à notre insu) dans les plats préparés, on ne sait même pas ce qu'on nous fait manger.

Et tout ça sans aller chercher dans les détails de la composition des aliments de base...

 

Alors quand on a bien mangé son steack, dire à son cerveau, tu vois, tu as eu du boeuf haché, du sel, du poivre, de la matière grasse et ainsi de suite...

Vous verrez, que même ceux qui ne mangent "rien" à vos yeux, avalent tout un tas de variétés.

 

En fait, j'ai découvert çà, non pas en cuisinant, mais en remplissant des questionnaires sur l'alimentation sur une grande enquête nationale sur les comportements alimentaires : link  (etude-nutrinet-sante)

Et répondre aux questionnaires de cette étude m'a mise bien en face de mon comportement, soit, mais aussi de la diversité de tout ce que je consommais.

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 22:43

Une autre petite chose à faire à chaque fois que l'on se met à table.

 

Je précise que quand on veut manger, c'est qu'on s'est installé, tranquillement, pour manger et pas : on prend un peu de quoi avaler à l'arrache

 

Donc on est installé, à table ou sur une nappe de pique-nique ou n'importe où, mais installé pour manger.

Et on commence toujours aussi tranquillement son repas.

Quoi qu'on mange, quel que soit le menu ou le type de repas, réaliser que tout ce qu'on porte à la bouche pour l'avaler est de la nourriture.

Un peu d'éthymologie :

la nourriture est nourrissante !

 

Donc à chaque fois qu'on mange ou avale de la nourriture, on apporte quelque chose en plus dans notre corps, un quelque chose qui va être digéré et souvent stocké dans notre organisme.

Aussi, à chaque chose qu'on mange, jusqu'à la plus petite miette, réaliser qu'on est en train d'absorber de la nourriture.

 

Et si on en doute, se dire, se parler (avec son cerveau encore une fois) : " Bon ! Là, tu vois, tu es en train de mettre quelque chose dans ta bouche", "Tu es en train de mâcher de la nourriture", "tu es en train d'avaler des aliments", etc...

 

Bien prendre conscience qu'on est en train d'encore manger quelque chose !

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 22:32

Combien de fois par jour on a cette sensation ?

Je dis bien sensation !

Parce qu' en fait bien souvent on pense qu'on a faim, mais c'est un leurre...

Par contre quand on a cette sensation de faim, ça déclenche une réelle et véritable

 

envie de manger...

 

Aussi à chaque fois que je pense avoir faim, en dehors de mes heures de repas, je commence par boire un ou deux grands verres d'eau, calmement.

Ensuite, j'essaie de ne pas me fixer sur cette idée de "MANGER"...

 

Si ça persiste, je m'assieds tranquillement et me remets à discuter avec mon cerveau

Vous l'aviez déjà oublié celui-là ?

Et je lui demande s'il a réellement faim ou si c'est simplement envie de manger.

 

Après je m'explique avec lui (mon cerveau),

 

1) si tu as envie de manger, tu peux attendre un autre moment, je vais m'occuper en faisant autre chose et tu verras, ton envie passera.

 

2) si tu as faim, va y ! Gave toi ! Tout mon corps est rempli de réserves bien nourrissantes, alors tu peux aller piocher dans mes bourrelets, y'a de quoi se satisfaire !

 

Et pour récompenser mon triomphe passager et ma résistance, je bois encore un verre ... d'eau !

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 20:13

Quand je vous disais, "quand je pars en vacances, je préfère savoir où je vais", c'est vrai...

Quand j'accompagne quelqu'un à l'aéroport, ici, il y a quarante kilomètres, mais il faut plus d'une heure (routes et pistes très différentes d'en métropole)

Donc quand je dois aller à l'aéroport je ne me dis pas, je vais faire quarante kilomètres, mais je dois aller à l'aéroport, tout simplement.

Idem, quand j'ai décidé d'aller à 65 kilos, je ne disais pas j'ai 105 kilos à perdre, ça affolait trop de monde...

Une fois, je discutais avec une copine alors que j'avais perdu 58 kilos, je lui dis tranquillement et en confiance, "- il ne me reste plus que 47 kilos à perdre !"

Elle est devenue blanche, a eu beaucoup de mal à avaler sa salive et m'a regardé désespérement en me disant avec une voix tremblotante " Ah ! Oui ? Plus que... "

Alors j'ai pris la décision de ne plus dire combien il me restait à perdre...

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 19:30

Ben oui !

Moi quand je mange, j'en veux plein !

Plein l'assiette, plein de morceaux, plein la vue !

Et là dans le fond je n'ai pas changé...

Mais en fin de compte, la notion de plein peut, elle aussi, répondre à la loi de la relativité.

 

En effet, j'ai l'impression de ne pas être laisée quand mon assiette est bien remplie. C'est comme ça, et je n'arrive pas à me changer.

La seule solution ça a été de prendre des assiettes moins grande,

d'abord finies les assiettes immenses très à la mode (25 à 30cm de diamètre).

j'en suis revenue aux assiettes qu'on avait dans les familles, dans ma jeunesse (20 à 22cm),

et puis aux assiettes à dessert (17 à 20 cm)

et même, parfois aux sous-tasses là, je l'avoue, je privilégie les plus grandes (12cm)

 

Hé bien quand j'en reprends, je ne culpabilise pas, parceque bien souvent, en fin de compte je pourrais en reprendre 4 fois sans atteindre le volume d'une seule très grande assiette....

 

Mais encore une fois, les choses ne se sont pas mises en place en quelques jours.

Le moment de me sentir prête à réduire le volume s'est présenté à un moment donné, non programmé d'avance.

 

Autre façon d'avoir plein, sans en avoir plus :

Couper tous les aliments en petits morceaux.

Exemple : un concombre de taille moyenne, coupé en deux dans la longueur, puis en quatre tronçons, représente 8 morceaux de concombre. Comme on est obligé de le mâcher, chaque morceau peut être englouti (pour les plus voraces) en 3 bouchées, ce qui représente 24 bouchées...

En coupant ces tronçons en rondelles (pas épaisses, mais pas trop fines non plus) on arrive facilement à 72 morceaux !

 

Quand on les mange, un par un, (avec les doigts ou patiemment piqués à la fourchette), qu'on les mâche et qu'on ne reprend le suivant que lorsque le précédent a été avalé, je peux vous dire qu'il s'en passe du temps...

 

J'ai pris l'exemple du concombre, mais j'aurai pu dire la banane.

Une banane peut se manger sans s'étouffer en 5 à 6 belles bouchées, la même banane coupée en rondelles peut facilement être amenée à 30 bouchées, soit 30 rondelles...

Et cette différence est extraordinairement satisfaisante pour ceux qui en veulent plein !

 

Je m'adresse bien sûr à toutes celles et ceux qui ont accepté et appris à ne plus engouffrer, engloutir, se gaver, se jeter sur la nourriture, mais à avoir une relation douce, apaisée et posée avec ses aliments...

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 04:56

Encore une fois, je vais vous parler de ce que mon médecin Philippe K. m'a aidée à découvrir.

 

Encore une question à se poser.

 

Quel est le moment où tu as le plus de plaisir quand tu consommes un aliment ?

 

En le regardant ?

En le sentant ?

En le mettant à la bouche ?

En le mâchant ?

En l'avalant ?

En le digérant ?

 

Il en est ressorti qu'après réflexion et essais lors de mes repas, le moment le plus intense et satisfaisant est celui de la première bouchée.

On découvre, l'odeur, la saveur, la texture, le goût, la chaleur ou fraîcheur... avant d'avaler et ensuite, la deuxième bouchée et les suivantes pourront être agréables si l'aliment nous a plu, mais jamais aussi intense !

 

Alors, lorsqu'on est invité à déguster des aliments que l'on sait riches en calories et pas trop compatibles avec la notion d'amaigrissement, il est bien sûr impératif de goûter ... une vraie première bouchée.

Pour ma part, je ferme les yeux pour encore mieux laisser mes sens se sublimer.

Et bien entendu, pourquoi gâcher un tel plaisir en tentant une deuxième, troisième bouchée puis qu'on sait pertinemment que seule la première était aussi intense !

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 04:38

Je suis certaine que de nombreux lecteur se demandent quand on va parler de ce qui se mange, quand et comment...

 

On y arrive .... (presque)

 

Je tiens à rappeler que je ne donnerai aucun aliment à ajouter, à proscrire, à éviter. Vous verrez qu'au fur et à mesure de votre démarche, vous découvrirez vous même ce qui est superflu ou indispensable.

 

Pendant quelques jours, à chaque fois que vous mangerez, placez vous face à un miroir et regardez vous manger. Regardez bien comment vous mangez !

 

Pour ma part, je remplissais ma fourchette et j'engouffrais le tout dans ma bouche et je la remplissais déjà, alors que je n'avais pas fini de mâcher ni d'avaler ma première bouchée...

 

Mon premier exercice a été de ne mettre que peu d'aliments dans ma fourchette et de la reposer sur mon assiette tant que je n'avais pas avalé la bouchée. A ce moment, je reprenais ma fourchette, piquais quelques aliments et la ramenais tranquillement à la bouche avant de la reposer, de mâcher, d'avaler...

Les premières fois, ça m'énervait drôlement et par moment je rechargeait à fond la fourchette pour m'engouffrer et me rassurer..

Puis au fil du temps, j'ai utilisé une paire de baguettes chinoises, et là, pas facile d'en mettre trop...

Et enfin, je ne mange plus avec des couverts, mais avec les doigts (pas de gnia gnia) dans certaines contrées, ça se pratique encore. La seule chose, c'est qu'il vaut mieux se laver les mains avant (et après).

L'avantage de manger avec les doigts, c'est qu'on découvre, grâce au toucher, la texture de l'aliment, c'est incroyable comme le goût peut changer.

En plus, on ne prend qu'un morceau à la fois, où une pincée (si on veut bien se tenir)... Je sais que bien souvent on prend volontiers des poignées qu'on enfourne comme pour le gavage des oies (je pense aux cacahuètes...)

 

Mais tout ça, on y arrive en patientant et c'est un apprentissage qui nous mène à appréhender nos repas avec beaucoup plus de sérénité.

On n'arrive plus à table pour dévorer, enfourner, se gaver ou engloutir, mais pour manger, déguster, apprécier et se faire plaisir.

 

Pour ma part, ce déclenchement à eu lieu en regardant une publicité de yaourt (je ne sais plus la marque) dans laquelle, le long d'une rivière, une jeune femme (maigre, limite anorexique) dégustait un yaourt. Elle portait lentement la cuiller à ses lèvres, happait sensuellement son yaourt, reposait sa cuiller dans le pot et écoutait l'eau de la rivère couler. Elle reprenait sa cuiller au ralenti et recommençait.

J'ai éclaté de rire !

Mais....

Cette image m'a marquée, et je n'avais pas du tout envie de devenir maigre comme elle, mais de pouvoir avoir autant de plaisir en mangeant quelque chose avec tant de précautions....

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 04:25

Ben oui ! Vous êtes prêt à maigrir, mais vous connaissez-vous bien ?

 

Plantez-vous devant le miroir, debout, assis, allongé, dans des positions fantaisistes et regardez-vous bien tel que vous êtes.

Prenez plein plein de photos de vous !

 

Dans quelques mois, elles serviront bien à vous rappeler de : " Oh ! là ! là ! J'étais comme ça ? "

 

Et tout au long de votre amaigrissement, continuez à figer l'image sur des photos.

 

En effet, pour ma part, quand j'étais dans les 90 kilos, je me trouvais mince et fraîche, presque fine...

 

Maintenant quand je regarde les clichés de cette période, je vois qu'il y en avait pas mal à perdre.

 

Et pendant que vous êtes en face du miroir, parlez vous !

Parlez à votre cerveau, à votre ventre, à vos bourrelets. Ce seront vos interlocuteurs et confidants tout au long de votre démarche.

 

Je ne plaisante pas ! asseyez-vous en face d'un miroir, regardez-vous droit dans les yeux et posez vous les questions qui font mal, à voix haute. Si vous jouez vraiment le jeu, vous verrez, qu'il y a des questions que vous n'arriverez même pas à formuler, c'est là-dessus qu'il faudra approfondir...

 

Posez vous aussi les questions qui ne font apparemment pas mal et surtout, encouragez vous, votre cerveau, votre ventre et vos bourrelets à faire équipe avec vous vers une nouvelle silhouette.

 

En bref, apprenez à vous connaître, à vous voir et à vous accepter avec vos qualités et vos défauts.

 

Mais surtout, apprenez à vous aimer, à vous aider, à vous respecter parce que vous allez entreprendre une démarche pas toujours facile et que ce n'est qu'en faisant équipe, en se serrant les coudes que vous parviendrez à dépasser les (très nombreux) obstacles qui se présenteront à vous.

 

Je suis persuadée qu'il y a des lecteurs qui se moquent de ce que je viens de dire, mais franchement, essayez ! ça peut vraiment vous aider.

 

Pour éviter des remarques désagréables, privilégiez des moments où vous êtes seul dans la pièce au miroir.

Au bout de quelques temps, vous verrez, vous n'aurez plus besoin de miroir et pourrez vous parler à voix basse (dans certaines circonstances, c'est tout de même plus pratique)

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 04:16

Il faut tout de même préciser que les choses ne se font pas en quelques jours, ni semaines, ni mois...

 

Entre le moment où vous êtes prêt à maigrir, les premiers efforts et changements entamés, il faut parfois compter au moins 3 semaines avant de commencer à perdre du poids...

 

Ensuite, pendant l'amaigrissement, par épisodes, vous cesserez de perdre du poids, mais pas de maigrir...

ça s'explique,

comme vous vous sentez de mieux en mieux, vous bougez de plus en plus et votre corps fabrique du muscle.

Comme il n'est pas suralimenté, il va chercher sa matière dans les graisses stockées un peu partout et il va les transformer en muscle sain et oxygéné, ce qui fait qu'il n'y a aucune perte en poids, mais votre silhouette se transforme et se raffermit.

 

C'est dans ces périodes là où chaque fois que vous montez sur la balance et en redescendez déçu que vos copains, collègues et connaissances sont enthousiastes et vous félicitent parce qu'ils voient votre amaigrissement (il faut bien un côté positif quand même !)

 

Comme je disais également, il faut se fixer un objectif à atteindre, mais laisser faire les choses tranquillement avec le temps nécessaire. On met neuf mois à fabriquer un enfant de 3kg et demi, et on n'a pas le choix; on peut bien prendre le temps de laisser le corps exterminer nos graisses superflues !

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26 février 2011 6 26 /02 /février /2011 11:11

Maintenant, on est :

 

- certain de vouloir maigrir

 

- on sait quel poids on veut atteinddre,

 

il y a une démarche à ne jamais oublier dans tout ce qu'on entreprendra dès à présent.

 

 

Fermez les yeux (après avoir lu la suite de la phrase...) et imaginez un peu quelle sera votre future silhouette, à quoi vous voulez ressembler.

 

A divers moments de votre journée, à diverses occasions il faut toujours repenser à la silhouette finale vers laquelle vous désirez aller. Et au moment de bouger, de manger, de communiquer avec les autres, de faire vos courses, de monter vos étages, vous devez vous dire :

 

et si je pesais mon poids idéal, que j'ai la silhouette de mon désir, comment je ferais ça ? Est-ce que je le ferais ?

 

Comment je bougerais, là ?

Comment je mangerais ça ? Est-ce que je mangerais ça ?

comment je me tiendrais face à cette personne en cas de dialogue ?

est-ce que j'acheterais les mêmes choses ? (style de vêtements, taille, variété alimentaires, etc...)

est-ce que je prendrais la voiture pour mes petits déplacements ?

est-ce que je ne monterais pas les escaliers plutot que de prendre l'ascenseur ?

Est-ce que je n'irai pas faire un peu de marche, de natation, plutot que de me planter devant la télé ou l'ordinateur ?

 

Et ainsi de suite dans n'importe quelle circonstance.

 

Et ça, dès cet instant, jusqu'au jour où vous aussi vous aurez atteint votre poids idéal.

Ne vous comportez plus en (trop) gros, mais en personne bien dans son corps !

 

Vous remarquerez rapidement que bien souvent, l'excuse du trop gros, trop lourd, trop large, permet d'esquiver avec humour et bonne humeur (souvent sur le ton de la plaisanterie) pas mal de situations...

 

Est-ce que je veux continuer à jouer à cache-cache avec la réalité en me planquant derrière mes kilos superflus ?

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